Dis moi, SNCF
Dis moi, SNCF, y as-tu jamais pensé ? À tous ces poèmes, ces romans, ces essais, Auxquels tu as, à ta façon, contribué ? A la faveur de ces petits retards, de ces long trajets,
De ces moments suspendus où le temps s’étire sur voies ferrées… Le cerveau, soudain plus léger, célèbre à sa façon la liberté retrouvée. Alors les idées s’envolent, puis viennent se poser, Comme autant de papillons de papier.